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Manque de sommeil et fatigue : conditions sous-jacentes et pistes de solutions

Selon les statistiques, 33 % des adultes canadiens ne dorment pas assez. Fortes sont les raisons de croire que ce soit la même chose à la grandeur de la planète. Quelles sont les raisons qui justifient cette proportion? Comment pourrions-nous améliorer notre sort et ainsi améliorer notre santé globale en tant que société? Cet article mettra en lumière les différentes causes associées au trouble du sommeil et vous proposera des pistes de solution simples et efficaces pour y remédier.

Trouble du sommeil : les faits

Le trouble du sommeil peut se traduire de différentes façons. En effet, il ne se limite pas au simple fait d’avoir de la difficulté à s’endormir. Puisqu’il peut être causé par différentes conditions, le trouble du sommeil peut devenir complexe à contrôler.

Statistiquement parlant, voici ce que les Canadiens rapportent quant à la qualité de leur sommeil :

  • 50 % des Canadiens ont de la difficulté à s’endormir ou à rester endormi
  • 20 % des Canadiens trouvent que leur sommeil n’est pas suffisamment réparateur
  • 33 % des Canadiens avouent avoir de la difficulté à rester éveillés pendant les heures de travail

Des statistiques sont également disponibles quant à la quantité de sommeil insuffisante qui devrait varier entre 7 et 9 heures par nuit pour un adulte :

  • 25 % des adultes canadiens de 18 à 34 ans disent ne pas avoir une quantité de sommeil suffisante
  • Ce pourcentage est de 33 % pour les 35 à 64 ans
  • Il est de 25 % pour les 65 à 79 ans

Sachant que le sommeil est essentiel pour l’atteinte et/ou la poursuite d’une santé optimale, mettre en lumière ce qui cause un trouble du sommeil et déterminer la marche à suivre pour remédier à la situation est primordial.

Le sommeil et ses phases

Avant de parler des différents troubles associés au sommeil, apprenons-en davantage sur le sommeil lui-même.

Le sommeil est directement lié au cycle circadien. Ce dernier se qualifie comme notre horloge biologique. Ce cycle dure 24 heures et il contrôle entre autres la production de mélatonine, l’hormone qui informe le corps humain sur la présence ou non de lumière et sur l’alternance entre le jour et la nuit. Concrètement, le cycle circadien influence le sommeil et ses phases.

Une nuit de sommeil est généralement composée d’une succession de périodes de sommeil lent (3 phases) et de sommeil paradoxal (1 phase). Ces 4 phases forment un cycle et une nuit comporte généralement entre 4 à 6 cycles.

Les 3 phases du sommeil lent sont celles-ci :

1. N1 – sommeil léger

Pendant cette phase, le dormeur se détend et il devient insensible aux stimulations corporelles et oculaires. Son rythme cardiaque ralentit et sa respiration devient plus calme et régulière. Il n’est pas totalement insensible aux stimulations extérieures et peut être réveillé par un bruit ou des changements de température. Il s’agit d’une phase de transition.

2. N2 – sommeil lent

Même si le sommeil est léger, cette phase est celle où le dormeur est bien endormi.

3. N3 – sommeil lent profond

Pendant cette phase, le corps ne bouge plus, l’activité cérébrale est ralentie et il est difficile de se réveiller.

Ces phases sont détectables, entre autres, en fonction de l’activité et de la fréquence des ondes cérébrales.

Le sommeil paradoxal est quant à lui caractérisé par une activité cérébrale qui ressemble à celle de l’état d’éveil. Pendant cette phase, le dormeur présente des mouvements oculaires rapides (rapid eye movement – REM) et c’est pendant cette dernière que les rêves sont les plus intenses.

Quoiqu’elles puissent varier en termes de durée, ces phases se succèdent toujours, et ce, chez chaque individu.

Trouble du sommeil : comment le définir

Comme mentionné d’entrée de jeu, le trouble du sommeil peut prendre différentes directions. C’est ce qui peut parfois le rendre complexe. Le résultat reste le même :

  • Fatigue
  • Irritabilité
  • Impatience
  • etc.

En gros, le trouble du sommeil est un état qui affecte l’endormissement (passage de l’état de veille au sommeil), le sommeil ou la vigilance (capacité de réaction de l’organisme). Voici quelles sont les causes les plus communes de troubles liés au sommeil.

1. Trouble lié au cycle circadien

Lorsque le cycle circadien est déréglé, les différentes phases du sommeil sont impactées. Ce dernier peut être affecté par ces situations :

  • Décalage horaire
  • Travailler à un poste dont l’horaire est irrégulier
  • Endormissement et réveil à des heures irrégulières (non constant)
  • Être alité longtemps
  • Cécité ou non-exposition à la lumière du soleil sur de longues périodes
  • Prise de certains médicaments
  • Maladie (ex.: cancer)
  • Génétique
  • Trouble anxieux

Les troubles du sommeil liés au cycle circadien auront comme impact de devancer ou retarder le moment où la fatigue et le désir de se coucher se présentent.

2. Apnée du sommeil

L’apnée du sommeil se définit comme le ralentissement ou l’arrêt suivi de la reprise de la respiration pendant le sommeil. Le plus souvent, elle est causée par une obstruction des voies respiratoires quand les tissus mous du fond de la gorge se relâchent, parce que les voies respiratoires sont étroites, que la langue est épaisse ou qu’il y a un surplus de tissus adipeux dans la gorge.

3. Insomnie

L’insomnie se traduit par une difficulté d’endormissement ou à la capacité de maintenir le sommeil pendant la nuit. Très fréquente, elle peut être causée par plusieurs facteurs et est souvent la conséquence de quelque chose d’autre :

  • État de stress quelconque
  • Mauvaise hygiène de sommeil en général
  • Trouble du sommeil comme l’apnée du sommeil et les troubles du cycle circadien
  • Environnement de sommeil inadéquat (bruit, lumière)
  • Utilisation des écrans
  • etc.

4. Douleurs limitant le sommeil

Il est fréquent de voir des gens rapporter des douleurs les empêchant de dormir. Le résultat reste le même : on peut avoir de la difficulté à s’endormir, on peut se réveiller fréquemment et on souffre de fatigue le jour. Ce n’est pas à négliger et il pourrait alors être très intéressant de consulter votre chiropraticien afin qu’il puisse évaluer votre santé neurovertébrale.

Trouble du sommeil : pistes intéressantes

Une fois les conditions ciblées, il peut être intéressant de trouver des solutions afin d’améliorer le sommeil. Les saines habitudes de vie liées au sommeil comme celles-ci sont primordiales :

  • Éviter l’alcool, la caféine et la nicotine avant le coucher
  • Avoir un horaire de sommeil régulier
  • Utiliser des techniques de détente comme la pleine conscience et la méditation
  • Avoir un environnement de sommeil calme
  • Éviter les écrans une heure avant le coucher
  • Avoir un matelas et un oreiller adéquats
  • Ne pas faire de siestes de plus de 30 minutes
  • Pratiquer l’activité physique régulièrement

La méthode du contrôle du stimulus peut aussi être utilisée afin de maximiser le lien entre le lit et le sommeil. Elle se compose comme ceci :

  1. Aller au lit seulement lorsque la fatigue se fait sentir, peu importe l’heure
  2. Avoir une routine de préparation au sommeil une heure avant le coucher (laver les dents, mettre son pyjama)
  3. Garder le lit seulement pour dormir
  4. Sortir du lit et changer de pièce si l’endormissement n’est pas arrivé après 10 ou 20 minutes (en profiter pour relaxer ou méditer)
  5. Se lever toujours à la même heure
  6. Ne pas faire de sieste le jour (maximum 30 minutes)

Avec tous ces conseils, gageons que vous n’aurez plus la tête dans les nuages après vos nuits de sommeil!

Sources, telles que consultées le 22 août 2023

https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vie-saine/adultes-canadiens-dorment-suffisamment-infographique.html

https://www.nationalgeographic.fr/sciences/les-secrets-des-quatre-phases-du-sommeil#:~:text=PHASE%201%20%3A%20ENDORMISSEMENT%20ET%20D%C3%89CONNEXION&text=Nos%20r%C3%A9cepteurs%20sensoriels%20se%20d%C3%A9connectent,langage%20et%20de%20la%20conscience

https://www.merckmanuals.com/fr-ca/accueil/troubles-du-cerveau,-de-la-moelle-%C3%A9pini%C3%A8re-et-des-nerfs/troubles-du-sommeil/troubles-du-rythme-circadien#:~:text=Les%20troubles%20du%20rythme%20circadien,de%20sommeil%20et%20de%20veille

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Été 2023 : des vacances santé inoubliables

Vivement les vacances! Sachant que le travailleur moyen a 4 semaines de vacances par année, pourquoi ne pas en profiter pour les rendre extraordinaires et santé à la fois? Puisque notre rôle est d’optimiser votre santé, nous avons pensé vous conseiller sur comment faire de vos vacances 2023 les plus merveilleuses qui soient. Cet article mettra en lumière des astuces et conseils santé qui vous permettront de passer du bon temps en famille cet été.

Penser léger en partant, c’est gagnant!

C’est bien le temps des vacances, non? Commencez d’abord par mettre à l’avant-plan la définition même de ce terme, qui se veut être un temps d’arrêt. Ne quittez pas le travail en vous disant que vos vacances devront être réglées au quart de tour afin de profiter de chaque instant! Ne tombez pas dans le piège de retourner au travail pour vous reposer de vos vacances! Trop de gens ont tendance à se mettre de la pression quant aux activités à faire. Allez-y plutôt avec l’intention de les rendre agréables et saines à la fois. La légèreté a toujours sa place, ne l’oubliez pas. En conséquence, votre esprit sera tout aussi reposé que votre corps. Pour commencer, voici comment vous pourriez rendre votre période de vacances plus légère. Par la suite vous pourrez les optimiser en prenant en considération nos astuces santé.

La légèreté, c’est la capacité à modifier une habitude sans se soucier du résultat. C’est prendre le temps de prendre le temps, de voir les choses différemment pendant cette période différente de l’année.

Vacances santé : comment y parvenir

Maintenant que vous comprenez que les habitudes peuvent être modifiées, ajoutez des astuces santé qui vous permettront d’optimiser vos vacances.

1. Planifiez pour vous amuser

Oui, nous venons de vous dire que la légèreté a sa place pendant la période des vacances. Détrompez-vous : la planification n’ajoutera pas nécessairement de la lourdeur à vos vacances. Au contraire, elle contribuera en quelque sorte à les alléger.

  • Planifier les repas
    À moins que vous partiez une semaine complète dans un tout-inclus, vous aurez sans doute besoin de planifier certains repas. Profitez de l’occasion pour leur ajouter une touche de fraîcheur. Pas de changement, pas d’agrément!
  • Planifier quelques activités sans en faire une maladie
    Comme mentionné d’entrée de jeu, les vacances reposent sur le principe d’un temps d’arrêt. Bien que nous vous disions de ne pas surcharger ce temps, planifier quelques sorties ou activités permet de réaliser des choses – petites ou grandes – qu’on attend depuis longtemps. C’est génial quand on y pense! Pour le reste, se laisser aller au gré du temps peut être une excellente façon d’agrémenter ce temps d’arrêt.

2. De l’eau, encore et toujours

L’hydratation est essentielle pour le corps humain, encore plus lors des journées chaudes et humides comme on les connaît depuis quelques étés. Le corps humain est composé en majorité d’eau et puisque la chaleur nous en fait perdre une bonne quantité, il est important de boire. En conséquence, on évite la déshydratation.

Prenez l’habitude de partir avec une gourde par personne afin de les remplir aux endroits prévus à cet effet. De plus, le fait de traîner sa bouteille d’eau permet de conserver cette bonne habitude plutôt que de vous laisser tenter par des boissons moins optimales et qui amputent votre budget vacances. Entendons-nous : la coupe de vin ou la bière ne sont pas interdites, loin de là! L’eau permet de vous supporter tout au long de votre journée, surtout lorsque l’alcool fait partie des plans!

3. Le soleil avec parcimonie

Les rayons UVB du soleil permettent à votre corps de synthétiser de 80 % à 90 % de votre apport en vitamine D. Ils sont importants puisque la vitamine D est essentielle à la santé de vos os et de votre système immunitaire. D’un autre côté, l’impact néfaste des rayons de soleil sur votre état de santé est réel lorsque l’exposition n’est pas bien planifiée. Il n’est pas question de ne pas profiter des rayons, soyez sans crainte! Néanmoins, une exposition prolongée sans être protégé adéquatement n’est pas recommandée. Pensez à mettre ces conseils en pratique :

  • Exposez-vous en moyenne de 10 à 15 minutes (maximum 30 min. selon les types de peau)
  • Profitez des rayons au minimum 3 fois par semaine (idéalement tous les jours)
  • Sachez que le meilleur moment pour l’absorption des rayons UV se situe entre 11 h et 14 h
  • Exposez minimalement les mains, les avant-bras et le visage
  • Utilisez un écran solaire

4. Bouger au quotidien

Que vous soyez à l’hôtel, à la maison ou en visite, pensez à bouger chaque jour. Les installations des hôtels offrent généralement des salles d’entraînement. Si ce n’est pas le cas, la marche demeure toujours l’exercice par excellence. Voici comment bouger chaque jour pendant vos vacances :

  • La marche en sentier, à la campagne et même en ville
  • Le paddlebord sur le lac près du chalet de votre amie
  • Une balade à vélo
  • Une séance de yoga sur la plage
  • Un jogging au lever du soleil
  • Un entraînement en salle à l’hôtel

5. Un moment sans réseau

Oui oui! Vous avez bien lu! Pas de réseau internet pendant un certain temps! On pense d’abord aux enfants qui pourraient rouspéter, mais nous sommes convaincus que ce n’est pas plus facile pour les parents, n’est-ce pas? Troquez le temps d’écran par une partie de cartes, un feu de soirée ou une activité nouvelle! Limitez-vous à la prise de vos courriels et la visite de vos réseaux sociaux une seule fois par jour.

6. Se gâter et éviter les excès

C’est possible, le saviez-vous? Le gros bon sens a toujours sa place, ne l’oubliez pas! Une bouteille de vin, ça se referme avec un bouchon hermétique… et le sac de chips aussi! En vacances, l’alcool, la nourriture et le soleil sont souvent “consommés” en même temps. L’un influence l’autre et vice versa, donc pensez à garder en tête le conseil sur l’hydratation : alterner entre le vin et l’eau vous permettra de profiter pleinement de votre journée plus longtemps!

Bonnes vacances!

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Alliez neuroplasticité et légèreté pour optimiser votre été!

Faites-vous partie de ceux et celles pour qui l’été est aussi la saison des “il faudrait que”? Il faudrait que je me remette à faire du sport. Il faudrait que je sois plus en forme. Il faudrait que je bouge plus. Il faudrait que je joue plus dehors avec les enfants.

Vous savez que l’une de nos missions en tant que chiropraticiens est de vous éduquer sur la santé optimale, n’est-ce pas? Avec le texte qui suit, vous comprendrez qu’il est possible de passer un été à s’amuser sans nécessairement se mettre une pression de performance sur les épaules. Vous serez plus légers, croyez-nous!

Santé globale et plaisirs de l’été : quel est le lien?

D’entrée de jeu, nous vous avons dit que l’une de nos missions était de vous guider vers la santé optimale. Pour nous, la santé représente beaucoup plus que l’absence de maladie. Elle se veut être un tout qui n’englobe pas seulement le physique. De par notre vision, nous souhaitons amener nos patients à avoir un système nerveux qui fonctionne optimalement tout en prônant les saines habitudes de vie :

Ces habitudes représentent pour nous des ancrages très importants pour l’obtention d’une santé optimale. Pour nos patients, il est facile de les comprendre puisqu’ils sont associés à des concepts concrets.

En parallèle avec ces concepts, il y a également le bien-être émotionnel et mental qui est essentiel à un état de santé optimal. Il est plus abstrait, mais tout aussi important. C’est d’ailleurs sur lui que nous nous baserons pour mettre de l’avant les informations contenues dans cet article.

Pourquoi? Parce que nous croyons fermement que le fait d’être bien avec soi-même nous pousse à être en accord avec nos actions, ce qui contribue sans contredit au fait d’être aligné tout en éliminant les émotions superflues et non essentielles. Évidemment, c’est encore plus facile à réaliser lorsque la santé physique est optimale, d’où l’importance de comprendre que la santé, c’est un tout!

En étant en accord avec nos actions, les “il faudrait que” disparaissent. Ils deviennent superflus et n’ont plus leur place. En conséquence, le temps passé à se questionner inutilement se transforme automatiquement en possibilités infinies liées au plaisir, au bien-être et à l’intégrité envers soi-même.

Quel est le lien scientifique entre mes pensées et mon été de rêve?

La neuroplasticité, vous connaissez? Ce concept est complexe et simple à la fois. À des fins de compréhension, voici comment vous pouvez vous l’imaginer.

Prenons premièrement l’exemple d’une douleur physique :

  1. Chaque stimulus (physique ou mental) envoie une information au cerveau, ce qui crée des connexions entre les neurones afin que le corps s’y adapte et maintienne un état ressemblant le plus possible au bien-être.
  2. En présence d’une douleur au dos, par exemple, le corps cherche à se protéger afin de limiter la sensation de douleur. Plus les signaux persistent, plus il envoie des signaux nerveux qui permettent aux muscles de se contracter, à l’inflammation de s’installer et à la sensation de douleur d’être moins présente. En d’autres mots, le corps s’adapte à son environnement.
  3. Plus il y a persistance, plus l’adaptation devient un état constant. Comme si c’était une nouvelle réalité dans laquelle les muscles sont continuellement en réaction pour limiter la douleur. Vous comprendrez que c’est “bon” pour limiter la douleur, mais “moins bon” pour une santé optimale, car les muscles sont toujours en réaction.
  4. Éventuellement, la douleur finit tout de même par s’installer puisque le corps ne peut plus compenser. Généralement, c’est à ce moment que les gens consultent afin d’améliorer leur condition. Comme le corps compense depuis un certain temps, les résultats peuvent être difficiles à obtenir, puisqu’il faut l’aider en créant de nouvelles connexions visant à rétablir l’équilibre.
  5. Sans suivi, on entre dans un cercle vicieux impliquant des tensions musculaires, des compensations et de la douleur.

Si elle joue un rôle dans l’adaptation du corps à la douleur, la neuroplasticité donne aussi tout son sens à la pensée positive et au fait de poser des actions pour lesquelles on est en accord. Le principe est le même : plus on est stimulé d’une façon, plus cette façon devient notre réalité. Pourquoi donc se priver de poser des gestes qui nous rejoignent, n’est-ce pas?

En lien avec les “il faut que” de l’été, le fait de prendre action et assumer nos choix vient donc créer un mouvement positif autour de cette saison. À partir de maintenant, prenez la décision de faire les choses pour vous et non pour les mauvaises raisons!

  1. Jouez dehors le temps qu’il faut avec vos enfants
  2. Faites de nouveaux sports simplement pour le plaisir
  3. Ne vous limitez pas et osez faire quelque chose de nouveau
  4. Si vous ne voulez pas un horaire précis, ne vous l’infligez pas
  5. Pensez à joindre des moments de gratitude à vos activités

Suite à cette prise de conscience, vous verrez automatiquement la pression de performance tomber et sans que vous le sachiez, vous trouverez légèreté et liberté dans toutes vos activités.

Une fois cette énergie bien installée, c’est à ce moment que vous trouverez le moyen de vous dépasser, si c’est ce que vous souhaitez!

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Les 4 meilleurs trucs afin d’optimiser votre suivi chiropratique (et votre santé globale)

La vision globale de la santé est au cœur de la philosophie chiropratique. Pour cette raison, votre chiropraticien se fait un devoir de vous donner, jour après jour, des conseils pour optimiser votre santé et par le fait même amener plusieurs bénéfices à votre suivi chiropratique. Cet article vous donnera une foule de conseils à mettre en pratique afin de bonifier vos rencontres chez votre chiropraticien tout en rendant votre quotidien encore plus équilibré.

La santé globale : à la base du bien-être

Rares sont ceux qui seraient prêts à dire non à un état de bien-être général, n’est-ce pas? Avec un suivi en chiropratique, la santé globale est une priorité et en conséquence, chaque action posée par votre chiropraticien sera orientée dans cette direction.

À tort, on pense que la santé se définit par l’absence de maladie. Nous pensons plutôt qu’elle devrait se définir par l’optimisation de tous les systèmes du corps humain, comme par exemple :

  • Système neuromusculosquelettique
  • Système cardiovasculaire
  • Système pulmonaire
  • Système endocrinien
  • Système sanguin
  • Système visuel
  • Système digestif
  • La peau
  • Système urinaire
  • Système reproducteur
  • Les dimensions affectives et psychologiques
  • etc.

Saviez-vous que tous ces systèmes sont contrôlés par le système nerveux? Sans lui, les connexions essentielles au fonctionnement des autres systèmes sont impossibles, ce qui peut avoir un impact important sur la santé. Un système nerveux qui ne fonctionne pas optimalement peut nuire au fonctionnement des autres systèmes. Le maximiser serait donc un atout indéniable afin de vous permettre d’avoir une santé globale à toute épreuve. Voici donc des conseils à mettre en pratique si vous souhaitez que votre système nerveux crée les meilleures connexions possibles, principalement entre vos ajustements chiropratiques.

1. Suivez les recommandations de votre chiropraticien

Lorsque débute le suivi chiropratique, votre chiropraticien vous propose une fréquence de traitement directement en lien avec votre condition. Cette recommandation est basée sur les résultats d’examens physiques effectués, son diagnostic chiropratique et son jugement clinique. Pour maximiser le fonctionnement du système nerveux et optimiser la condition de santé pour laquelle vous consultez, il est important de prendre en considération les recommandations concernant la fréquence des traitements. En prenant la décision d’investir dans votre santé, vous devez penser à long terme et suivre les conseils qui vous sont donnés. Votre santé vous remerciera!

2. Soyez actifs

Nous vous le répétons et les preuves sont faites; l’activité physique quotidienne est essentielle. Prenez en considération tout ce qui peut être obtenu lorsque vous bougez quotidiennement :

  • Augmentation de l’énergie, donc plus d’entrain et d’endurance.
  • Meilleur sommeil, donc meilleure récupération et amélioration du bien-être général.
  • Maintien de la mobilité articulaire, ce qui permet au système nerveux d’acheminer les bonnes informations aux structures impliquées.
  • Maintien des fonctions cardiovasculaires, ce qui favorise un bon apport sanguin partout dans le corps, y compris aux structures neurologiques. N’oubliez pas! Un système nerveux qui fonctionne bien, c’est la clé!
  • Stimule le système musculaire, donc aide à supporter le corps tout au long de la journée tout en apportant la force nécessaire aux différentes régions qui en ont besoin.
  • Aide à la motricité globale, ce qui encore une fois, permet au corps de maintenir son état de santé optimal et récupérer plus facilement de certaines conditions.
  • Procure un état de bien-être, car les endorphines sécrétées pendant l’activité physique sont les hormones qui sont directement liées à un état de joie et de bonheur.
  • Suite à un ajustement chiropratique, il est possible que certaines courbatures apparaissent. En pratiquant une activité physique régulièrement, votre corps est stimulé de façon continue, ce qui peut aider à éviter les courbatures.

Votre chiropraticien vous recommande d’être actif, mais vous avez peine à bouger? Pensez à votre enfant qui pousse derrière et qui aura besoin de vous longtemps, ça devrait suffire à vous convaincre!

3. Buvez, encore et toujours!

Tout comme l’activité physique, la recommandation de s’hydrater quotidiennement n’a plus de preuve à faire. En étant hydraté, vous allez chercher des bénéfices importants pour votre santé globale, tout en favorisant une bonne récupération suite à votre traitement chiropratique :

  • Les disques intervertébraux sont constitués en majorité d’eau. Il est donc important qu’ils soient hydratés, comme le reste des autres structures du corps humain. Pensez-y : en ayant un impact sur vos articulations intervertébrales, l’eau vous aide à avoir un meilleur mouvement et une meilleure posture!
  • En buvant une quantité adéquate d’eau, vous évitez l’apparition de différents effets liés à la déshydratation :

4. Favorisez une bonne posture

Bien que de plus en plus de familles consultent en chiropratique afin d’optimiser leur santé, les conditions de douleur constituent encore une bonne proportion des visites en clinique.

Partant du fait que plusieurs conditions de santé sont dues à des troubles posturaux, votre chiropraticien abordera sans doute le sujet avec vous. Optimiser un suivi chiropratique passe inévitablement par la mise en place de postures plus équilibrées, puisque si ces dernières sont en cause dans la condition qui est traitée, un changement doit être fait afin d’éviter la persistance et maximiser les chances de guérison. La santé globale, c’est une combinaison de facteurs qui, additionnés les uns aux autres, créent des résultats exceptionnels.

Chaque situation peut être améliorée et/ou adaptée afin de permettre au corps d’exprimer son plein potentiel. Comme vous avez pu le constater, il en va de même pour le suivi chiropratique et les conseils de base demeurent toujours sensiblement les mêmes.

La plupart du temps il ne s’agit que du gros bon sens, alors nous vous mettons au défi de les intégrer d’ici votre prochain ajustement!

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La gratitude : Voici comment l’intégrer à votre quotidien en 2023

Qu’on le veuille ou non, le passage vers la nouvelle année nous apporte son lot de réflexions. Rares sont ceux et celles qui n’ont aucune pensée sur les 365 derniers jours et qui ne pensent pas aux 365 prochains. Bien que nous ayons une tendance à délaisser les traditionnelles résolutions pour laisser place à la pleine conscience et la liberté, laissez-nous vous proposer une nouvelle façon de vivre la nouvelle année. Dans cet article, vous découvrirez à quel point la gratitude pourrait contribuer à votre bien-être, toute l’année durant.

Vivre en pleine gratitude 365 jours par année, c’est possible

L’une des plus grandes propagandes de l’ère actuelle est que vous devez ensevelir votre famille de cadeaux afin de rendre la période des Fêtes mémorable, ce qui est totalement faux.

Plus que jamais, la simplicité et l’appréciation prennent une place importante dans cette période de l’année. La gratitude est donc une pratique qui pourrait faciliter la transition vers ce mode de vie plus simpliste.

La gratitude est une forme de reconnaissance envers une personne, une situation ou un événement en particulier. Par sa présence dans le quotidien, elle permet une connexion positive et directe avec les émotions.

Pratiquée sur une base régulière, la gratitude peut avoir des bénéfices sur différents aspects de la vie :

  • La gratitude peut améliorer le bien-être global en diminuant le stress
  • La gratitude peut avoir un impact positif sur le rapport à l’alimentation lorsqu’on apprécie ce qu’on a dans notre assiette.
  • La gratitude aide aux relations interpersonnelles en les rendant plus simples et sincères
  • La gratitude peut avoir un impact sur la régulation du rythme cardiaque
  • La gratitude pourrait également jouer un rôle sur l’amélioration de la douleur

Intégrer la gratitude dans son quotidien : un jeu d’enfant

Puisque la gratitude se veut être un état de reconnaissance et de bien-être, sa pratique ne doit pas être complexe. Vous pouvez l’intégrer dans votre quotidien de plusieurs façons :

1. Tenez un journal de gratitude

Chaque jour, prenez l’habitude d’écrire ce pour quoi vous avez de la gratitude : votre relation avec votre conjoint, l’amour de votre travail, le toit sous lequel vous vivez.
Vous préférez le dessin? Laissez donc aller votre imagination en mettant vos pensées en images!

Afin d’intégrer plus facilement cette pratique à votre quotidien, fixez-vous un moment de la journée qui y sera consacré. Les habitudes se créent par répétition. Vous ne souhaitez pas le faire chaque jour? Pas de problème, allez-y selon l’émotion que vous vivez.

2. Développez le mode de pensée gratitude

Si vous êtes sensibilisé à la gratitude, il vous sera facile de l’intégrer à différents moments de la journée simplement en prenant conscience de ce que vous vivez.

  • Un repas en famille à discuter de ce que vous avez aimé de votre journée
  • La visite d’une amie de longue date
  • La première neige qui tombe
  • Les premiers pas de votre enfant

3. Intégrez votre moment de gratitude dans une période méditation

La méditation étant présente dans le quotidien de plusieurs, pourquoi ne pas accorder une partie de la séance à la gratitude? Une fois en position, prenez quelques respirations et pensez à ce en quoi vous avez de la reconnaissance. Ne serait-ce que de vous accorder le temps de faire cette séance.

4. Partagez votre état de gratitude

La gratitude s’intègre dans un mouvement commun de bien-être. Partagez votre état d’esprit. N’ayez pas peur de dire que vous avez de la gratitude, surtout en présence de vos enfants. Ce n’est pas nécessaire de dire que vous avez de la gratitude pour telle ou telle chose. En mentionnant que vous vous sentez bien d’être en présence d’eux, par exemple, ils comprennent votre état d’esprit et saisissent le message derrière vos paroles. Ils prendront l’exemple sur vous par la suite, et votre lien affectif sera encore plus fort.

La gratitude en détail

Les bienfaits de la gratitude ont été abordés d’entrée de jeu dans ce texte. D’une façon plus approfondie, voici ce que plus de 50 études scientifiques ont démontré face à cette pratique :

  • La tenue de 5 minutes par jour d’un journal de gratitude (voir plus haut pour vous rappeler ce que c’est) améliorerait de 10% le sentiment de bien-être à long terme. Bien que le temps investi soit minime, le sentiment procuré lors de la rédaction du journal persiste dans le temps.
    Plus on se retrouve dans un mode de gratitude, plus les pensées de gratitude viennent rapidement, plus elles sont nombreuses et restent dans notre esprit.
  • Atteindre un état de gratitude quotidien peut prendre quelques mois à se mettre en place, mais procure des avantages à long terme.
    Pour cette raison, la pratique doit être faite sur une base régulière. Il faut premièrement développer l’habileté et le réflexe de la voir et la ressentir. Deuxièmement, certaines personnes ont plus de facilité à voir les éléments de gratitude que d’autres. Pour cette raison, ceux qui ne la voient pas toujours peuvent avoir besoin de plus de temps pour la ressentir au quotidien. Qu’à cela ne tienne, car le cerveau apprend par répétition, alors chacun pourra y trouver son compte à son propre rythme.
  • La gratitude est contagieuse
    Comme mentionné plus haut, les enfants exposés à la gratitude sur une base régulière développent la capacité à la voir plus facilement. Selon 2 études, les gens ayant un état de gratitude supérieur à 10% de celui de la population moyenne ont démontré avoir un capital social plus élevé de 17,5%.
    Sommairement, cela nous rend plus positifs, attire les gens vers nous, nous rend plus appréciés et améliore les relations interpersonnelles (famille, amitié, mariage).
  • La gratitude réduit le matérialisme
    Selon certains, le matérialisme réduit le bien-être général. À la base, il n’y a rien de mal à en vouloir “plus” pour certaines raisons. Cependant, le matérialisme réduit le sentiment d’appréciation envers ce que nous possédons, engendre des émotions plutôt négatives et nous pousse à nous centrer sur nous-mêmes pour en vouloir davantage. Là est la ligne à ne pas traverser. Tout le monde sait que le bonheur ne se retrouve pas dans la grosseur d’une maison ou la valeur d’une voiture!

Quoi de mieux que de pratiquer la gratitude pour que les 365 prochains jours soient ceux qui vous rejoignent le plus, n’est-ce pas?

Sources, telles que consultées le 17 décembre 2022 :
https://www.happierhuman.com/benefits-of-gratitude/

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Les 7 clés d’une estime de soi à toute épreuve

Dans une ère où tout “doit” souvent aller vite, la pression qui est infligée de part et d’autre peut avoir un impact négatif sur l’estime de soi. Puisque cette dernière fait partie intégrante d’un mode de vie sain, nous souhaitons aujourd’hui mettre en lumière les bienfaits inestimables d’une estime de soi à l’épreuve de tout. Cet article vous permettra de comprendre l’importance de l’estime de soi et vous donnera des pistes intéressantes afin de vous aider à la développer.

L’estime, c’est quoi au juste?

L’estime de soi pourrait être définie comme la perception ou le regard qu’une personne porte sur sa propre valeur. Elle est influencée par une multitude de facteurs :

  • L’environnement dans lequel on évolue
  • Les expériences de vie (positives ou négatives)
  • Le comportement des individus qui nous entourent (positif ou négatif)
  • Notre inné (certaines personnes ont une estime de soi plus ou moins élevée de façon naturelle)

Dans tous les cas, l’estime de soi n’est pas un élément fixé dans le temps. Elle peut prendre différentes directions.

Elle se module en fonction des facteurs nommés précédemment, et donc, est portée à varier. Ce qui est intéressant, c’est qu’en raison de sa variabilité, nous pouvons développer des aptitudes nous permettant de mieux nous comprendre en tant qu’individu, ce qui, en soi, est une expérience bénéfique. Les expériences vécues nous apprennent des choses sur nos capacités à réagir et à s’adapter, et avec le temps, le regard porté sur notre cheminement impacte positivement notre estime de soi. Ces expériences ne sont pas toujours positives sur le moment, mais l’apprentissage qui en ressort, lui, l’est! En conséquence, l’estime de soi se voit augmentée! Croire et avoir la certitude qu’elle ne peut que s’améliorer fait partie du processus. Regardons vers l’avant!

De quoi est faite l’estime de soi à toute épreuve?

Bien qu’une même expérience puisse avoir un différent impact chez 2 personnes différentes, les bases d’une estime de soi à toute épreuve restent sensiblement les mêmes. Elles passent par des concepts généraux qui, additionnés les uns aux autres, la rendent solide et constante. Voici donc les 7 clés d’une estime de soi à toute épreuve :

  1. Se connaître en tant que personne
    Comme mentionné précédemment, les expériences forgent notre caractère et notre personnalité. Plus on expérimente, plus on se connaît. Plus on se connaît, plus on peut reconnaître nos limites et nos besoins. En conséquence, le fait de se connaître permet finalement de s’écouter, ce qui augmente l’estime de soi.
  2. Avoir confiance en soi
    La confiance en soi est un concept assez vaste qui peut être imagé comme la capacité à poser des actions en s’assumant pleinement. Encore une fois, les expériences et la répétition de différentes situations aident à la forger. Plus on a confiance en soi, plus l’estime de soi augmente.
  3. Se sentir entouré et soutenu
    Être entouré, encouragé et soutenu au quotidien aide grandement à l’estime de soi : un enfant qui est aimé et supporté par ses parents développera plus facilement une estime de soi positive, n’est-ce pas? Le contraire est également vrai.
  4. Avoir un sentiment de compétence
    Savoir que les actions posées permettent d’obtenir un résultat concret aide à bâtir l’estime de soi. Il faut cependant faire attention de ne pas tomber dans l’extrême, où tout est axé sur la performance. Dans ce cas, l’estime de soi ne sera pas bâtie sur des valeurs solides. Elle sera faussée par la pression et le stress.
  5. Avoir la capacité de s’affirmer
    En tant qu’individu, assumer ce que l’on dit ou fait n’est pas toujours évident. C’est le travail d’une vie. Parfois, c’est facile, parfois, non. Parfois, les opinions sont bien reçues alors que d’autres fois, c’est le contraire. Parfois, on s’affirme maladroitement alors que parfois, c’est plus facile. Certaines personnes reçoivent aussi plus aisément l’opinion des autres, ce qui crée un sentiment de confiance et aide à l’affirmation. Avec les expériences, on apprend et l’estime grandit.
  6. Se donner le droit
    Donner son opinion. Changer d’idée. Porter un vêtement qui nous plaît sans avoir peur d’être jugé. Faire la sieste plutôt que de sortir pelleter. Dire non.
    Pour certaines personnes, ces prises de position ne présentent aucun problème alors que pour d’autres, c’est la galère. Bâtir une estime de soi à toute épreuve passe nécessairement par la capacité à se donner le droit, en se respectant et en respectant les autres. Trop souvent, on pense que le fait de se respecter pourra nuire à l’autre, ce qui, en réalité, n’est pas vrai. Tout se dit, tout se fait.
  7. S’accepter
    À trop vouloir être différent, on perd notre essence. À ce compte, pourquoi devrait-on être différent? Pourquoi devrait-il y avoir une version 2.0 de notre personne? Pourquoi ne serions-nous pas seulement en constante évolution, avec nos points forts et nos points moins forts? L’acceptation de soi est libératrice et aide grandement à bâtir une estime de soi à la hauteur de la personne que nous sommes.

Comment est mon estime de soi?

Êtes-vous en mesure “d’évaluer” votre estime de soi? Voici ici quelques exemples qui vous permettront de voir un peu plus clair dans votre situation :

Estime de soi “plutôt positive”

  • Dire non à une invitation à souper sans se sentir coupable
  • Acheter un vêtement différent et l’assumer
  • Se sentir accompli dans son travail
  • Se sentir confortable dans son rôle de parent
  • Pouvoir établir ses limites sans se questionner
  • Assumer ses choix alimentaires sans culpabilité
  • Reconnaître ses qualités sans se dénigrer
  • Reconnaître ses “points faibles” sans se dénigrer
  • Se sentir bien entouré et l’apprécier
  • Accepter les échecs en y voyant un apprentissage
  • Accepter les divergences d’opinions avec sagesse
  • Faire une activité qui vous convient sans vous soucier des autres
  • Vous maquiller selon vos goûts

Estime de soi “moins positive”

  • Éviter de se positionner par peur de froisser l’autre
  • Dire oui sans nécessairement le vouloir
  • Remettre un vêtement qu’on aime dans la garde-robe en pensant à ce que les autres vont dire en nous voyant
  • Avoir le sentiment d’être jugé en permanence
  • Porter plus d’attention à l’opinion des autres qu’à sa propre opinion
  • Ne pas assumer ses choix alimentaires
  • Se sentir plus ou moins supporté par son entourage
  • Ne pas assumer ses qualités par peur d’être hautain
  • Focaliser sur ses “points faibles”

De façon globale, ayez en tête que si vous prenez une décision qui vous convient, votre estime de soi est relativement bonne puisque vous vous permettez de vous écouter, vous vous assumez et vous êtes honnête envers vous-mêmes.

Comment bâtir une estime de soi à toute épreuve?

Connaissez-vous la règle des 4P? C’est la règle des Plus Petits Pas Possibles.

Chaque action compte, peu importe qu’elle vous semble petite ou grande, importante ou moins importante. Elle vous appartient et à force de poser des gestes qui vous collent à la peau, l’automatisme se développera et votre estime de soi également.

  • Vous sentez que vous êtes prêt à dire non? Commencez par une situation qui pourrait avoir un impact moins grand.
  • Vous désirez parler à votre patron(ne)? Permettez-vous de lui mentionner que vous n’êtes pas 100% à l’aise, mais que c’est important pour vous.
  • Votre style vestimentaire vous tanne? Ne changez pas votre garde-robe d’un seul coup.
  • Vous voulez approcher une collègue de travail parce que vous sentez qu’une amitié pourrait se développer? Commencez par partager un dîner et ensuite, proposez-lui une sortie de filles!
  • Vous voulez intégrer plus de légumes dans l’alimentation de vos enfants? Commencez par les plus faciles avec un peu de trempette. Laissez les choux de Bruxelles de côté! Vous gagnerez en confiance et les idées viendront plus facilement ensuite.

N’oubliez pas ceci : la seule personne à qui vous devrez rendre des comptes tout au long de votre vie, c’est vous. Soyez honnête envers vous-mêmes et permettez-vous d’être bien!


Sources, telles que consultées le 20 novembre 2022 :

https://www.teljeunes.com/Tel-jeunes/Tous-les-themes/sante-psychologique/estime-de-soi/r/les-quatre-composantes-de-l-estime-de-soi

https://monchiro.ca/blogue/voici-8-trucs-qui-pourront-vous-aider-a-renforcer-votre-estime/

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La méditation: un outil formidable à mettre en pratique

La réputation de la méditation n’est plus à faire. Ses bienfaits sont reconnus partout et ses adeptes sont de plus en plus nombreux à travers le monde. Avec les changements de luminosité de l’automne, les dommages collatéraux laissés par la pandémie et la frénésie de Noël qui nous éloigne parfois de la nature elle-même de cette fête, la méditation pourrait très bien vous servir d’ancrage afin de rester connecté. Cet article met en lumière les bienfaits liés à la méditation. Lisez jusqu’à la fin… d’autres trucs vous seront donnés!

Une pratique ancienne aux multiples bienfaits

Être dans le moment présent. Éloigner les pensées négatives. Prendre du temps pour soi. Peu importe les raisons pour lesquelles on pratique la méditation, il n’y a que des bienfaits qui en ressortent. Avez-vous déjà entendu quelqu’un dire que la méditation lui avait fait avoir des effets négatifs? Pas vraiment. Pour certains, elle peut sembler inefficace, mais elle ne crée certainement pas de “dommages”. Les effets positifs de cette pratique sont décrits ici :

1. Prendre du recul

En pratiquant la méditation, on se focalise sur le moment présent. Le silence, le calme et la sérénité dans laquelle on se plonge permettent une prise de conscience sur les évènements qui nous entoure. Par la suite, notre esprit est plus à l’écoute de notre environnement. Puisqu’on vit dans un monde où tout va vite, la méditation aide à prendre le recul nécessaire pour voir les choses autrement.

2. Être positif

Pour certains, le trouble d’humeur saisonnière et les séquelles de la pandémie n’aident pas à mettre du positif dans le quotidien. La méditation aide à promouvoir le positivisme en prenant conscience des choses bénéfiques qui nous entourent. L’hippocampe et le lobe frontal, des zones cérébrales impliquées dans les émotions, augmenteraient en volume avec la pratique de la méditation. Finie, la grisaille de novembre. On regarde en avant!

3. Apprécier ce qu’on a

La vie va vite. On en veut parfois plus sans que ce soit nécessaire. La méditation agit positivement sur la gestion du stress et puisqu’on devient moins stressé, nos choix sont plus éclairés et conscients. Avec le recul, l’impulsivité prend le large. Quoi de mieux que d’apprécier ce qu’on a, spécialement à l’arrivée des Fêtes?

4. Améliorer sa confiance en soi

La pratique de la méditation aide à l’introspection. Si les derniers mois ont été plus difficiles (perte d’emploi, séparation, difficultés financières, solitude), laisser aller ses émotions réelles lors d’une séance de méditation pourrait faciliter l’accès à votre vraie nature. En conséquence, vos agissements seront les bons pour vous, vous exprimerez vos réelles émotions et vous gagnerez en confiance.

5. Stimuler le système nerveux positivement

L’appétit vient en mangeant! Puisque le système nerveux est modulable et adaptable, le fait de se trouver dans un état d’esprit positif le mène à créer des connexions neuronales “positives” elles aussi. C’est une façon imagée et simpliste de vous faire comprendre que lorsque vous vous trouvez dans un état d’esprit qui vous fait du bien, vous avez tout à gagner en tentant de le reproduire le plus souvent. En découleront un automatisme et un bien-être quotidien. C’est aussi ça, la méditation!

À l’action!

La méditation est nouvelle pour vous et vous ne savez pas comment l’introduire dans votre quotidien? Si votre désir de l’intégrer à votre quotidien est en partie motivé par la recherche du calme, ne commencez surtout pas à vous stresser avec ça! Ce serait donc la première leçon : laissez aller votre intuition!

Il y a la méditation telle qu’on la connaît, c’est-à-dire celle où l’on se voit assis en position du tailleur avec les mains sur les genoux, avec de la musique ou des paroles qu’on écoute. Ceci étant dit, vous pouvez laisser aller votre intuition et vous asseoir confortablement dans une chaise pour débuter. Vous permettre de le faire est déjà un excellent pas, n’est-ce pas?

Étape 1

Trouvez le bon moment

Le matin? En fin de journée? Avant le coucher? Il n’y a que vous qui savez ce qui est bon pour vous. Essayez et vous verrez ce qui vous convient le mieux. Cette étape est essentielle afin de rendre l’exercice agréable.

Étape 2

Créez un environnement propice

Rendre la pratique de la médiation optimale passe nécessairement par un environnement optimal. L’endroit doit être paisible. Votre chambre à coucher, le salon, le bord de l’eau ou l’arrière de la cour. Peu importe, assurez-vous qu’il vous convienne. Vous voulez mettre une ambiance? Tamisez les lumières et allumez des chandelles! Le silence devra être de la partie!

Étape 3

Préparez votre mental

Vous arrivez du travail, la marmaille débarque de l’autobus et le tourbillon de la routine vous encombre l’esprit avant votre séance de méditation prévue au bord de l’eau? Ce n’est peut-être pas le moment idéal, mais seulement vous, pouvez le découvrir. Prenez quelques minutes avant de débuter. Pourquoi ne pas relaxer un peu avant de débuter? Voyez cet exercice comme une “pré-méditation”. Accordez-vous le droit de débuter de la bonne façon.

Étape 4

Installez-vous confortablement

Comme mentionné plus haut, la posture habituelle de la méditation est celle où l’on se retrouve assis en position du tailleur. Nous vous proposons encore une fois d’écouter vos besoins. La séance ne sera pas moins bénéfique si vous n’êtes pas dans cette position. L’important est que vous puissiez entrer en contact avec votre propre intérieur, alors focalisez sur ce qui est bon pour vous. Même si la posture est le premier pilier de la méditation, rien n’empêche de procéder par étapes.

Étape 5

Entrez en connexion

Vous pouvez avoir les yeux mi-clos avec un regard vers le sol, mais s’il est toujours détourné, fermez-les complètement. Gardez votre attention sur votre respiration, de façon à ce qu’elle soit légère et douce, comme la brise du vent au bord de la mer. Acceptez les pensées qui arrivent dans votre esprit sans les chasser ou les refuser. Si elles y sont, c’est qu’elles ont une raison d’être. Graduellement, vous serez en mesure de les comprendre et de leur trouver un sens. Les bienfaits notés plus haut ressortiront.

Un autre truc pour vous aider

Outre la médiation, la respiration par cohérence cardiaque a des effets positifs sur le stress et la santé en général. Nous ne pouvons la passer sous silence afin de vous aider à optimiser votre santé.

Le principe de la cohérence cardiaque est comme un balancier qui régule le rythme cardiaque pour l’amener à une fréquence bénéfique pour le corps humain en se synchronisant avec la respiration. Le nombre à retenir est le 365.

  • 3 fois par jour, l’exercice sera fait.
  • 6 respirations seront faites chaque minute (5 secondes d’inspiration et 5 secondes d’expiration)
  • 5 minutes seront accordées à l’exercice

Allez! Bâtissez-vous votre propre routine!

 

Sources, telles que consultées le 28 octobre 2022
https://monchiro.ca/blogue/10preuvesmeditation/

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Changement de saison 2022 : un automne 100 % zen

La rentrée est passée. Les journées raccourcissent. Les vêtements d’automne sont arrivés en boutique et les décorations d’Halloween aussi. La routine semble pointer le bout de son nez et nous guider tranquillement vers le prochain changement de saison. Déjà? Soyez sans crainte, il vous reste encore plusieurs belles journées estivales avant de troquer vos sandales pour vous souliers fermés. En attendant, lisez cet article afin de vous préparer efficacement au prochain changement de saison!

Prévenir pour garder le sourire

Mieux vaut prévenir que guérir, non? Bien que septembre ne fasse que commencer, pourquoi ne pas planifier les prochains mois plutôt que de repousser certaines tâches qui alourdissent le quotidien?

1. Pensez aux corvées d’automne

L’automne, avec ses couleurs magnifiques, nous permet d’apprécier le paysage québécois. Évidemment, après les couleurs viennent les terrains remplis de feuilles! Plutôt que d’attendre que la chute soit complètement terminée, raclez un peu chaque semaine afin de diminuer la charge le moment venu. Vous verrez certains bénéfices à racler plus fréquemment :

  • Diminution de la charge de travail
  • Pratique d’une activité physique plus régulière
  • Moments passés à l’extérieur
  • Diminution des courbatures en raison de la fréquence accrue de l’activité
  • Passer d’excellents moments en famille

Vous aimez jardiner mais mettre un terme à la saison vous pèse sur les épaules? Il n’y a pas de mal à couper les plants qui commencent déjà à être moins productifs. Couper des plantes qui fleurissent moins et qui changent de couleur chaque semaine vous permettra de voir la charge diminuer à coup sûr!

Qui a dit que tout le bois de chauffage devait être cordé la même journée? Dans la même ligne de pensée, un travail étalé sur plusieurs journées n’a jamais tué personne!

2. Planifiez les journées de mise en conserve

Betteraves, tomates, carottes, haricots! Que de bons légumes à mettre en conserve, n’est-ce pas? Préparez-vous à l’avance afin de rendre la tâche plus légère :

  • Réservez vos légumes chez le maraîcher
  • Lavez vos pots à l’avance
  • Achetez vos ingrédients en fonction de la bonne quantité de bouillon

Vos papilles vous remercieront!

Faites un pied de nez à la routine “post activités d’été”

Faites-vous partie de ceux pour qui la routine est signe de liberté? Trouvez-vous qu’elle vous permet de vous accomplir davantage en vous encadrant plus facilement? Il n’y a aucun doute qu’elle est bénéfique à plusieurs niveaux. Soyez toutefois avertis : elle ne devrait pas vous servir d’excuse!

Vous avez été actifs tout l’été. Vous avez profité des soirées avec les enfants pour jouer au tennis ou faire du vélo. Évidemment, avec la rentrée scolaire et la noirceur qui arrive plus tôt, certaines habitudes estivales doivent être modifiées. Mettons ici l’emphase sur la modification plutôt que l’interruption. Il serait facile de rester à l’intérieur pour faire de nos soirées des moments plus casaniers, mais n’oubliez pas que le corps a besoin de bouger chaque jour et qu’il ne fait pas de différence entre le mois de septembre ou celui de juin!

À ce compte, voici un rappel concernant vos besoins en activité physique :

  • Entre 5 17 ans
    Au moins 60 minutes d’activité d’intensité moyenne à élevée chaque jour
    Au moins 3 fois des activités d’intensité soutenue chaque semaine
  • 18 ans et plus
    Au moins 150 minutes d’activité d’intensité moyenne ou 75 minutes à intensité élevée chaque semaine
    Au moins 2 fois des exercices de musculation d’intensité modérée

Avez-vous pensé à jouer dehors avant le souper? Certes, le souper sera plus tard, mais la collation peut être plus grande, non?

Un pique-nique au terrain de jeux de la municipalité peut être une excellente façon de casser la routine et agrémenter les soirées de semaine. De belles joues rouges pour la fin de la journée, ça n’a pas de prix! Une boîte à lunch le soir, pourquoi pas?

Les municipalités et les villes offrent une variété infinie de cours ou d’ateliers pendant l’automne et l’hiver. Sortez et amusez-vous! Vos émissions vous attendront! N’oubliez pas : la planification est la meilleure façon de contrer l’inaction!

Optimisez votre quotidien

Changement de saison ou non, vous méritez de vivre optimalement. Votre quotidien est le reflet de vos habitudes de vie et ces dernières devraient vous permettre d’exprimer votre plein potentiel.

1. Ayez un sommeil optimal

Pour certains, l’automne peut affecter l’humeur. Lorsque cette dernière est affectée, le sommeil peut quant à lui en payer le prix. Voici quelques conseils pratiques afin d’optimiser votre sommeil :

  • Prenez l’habitude d’avoir un horaire de sommeil régulier
  • Limitez le temps d’écran au moins 1 heure avant le coucher
  • Rendez l’atmosphère de la chambre à coucher propice au sommeil : lumières tamisées, ambiance épurée, pas de télévision dans la pièce

Même si l’automne n’affecte en rien votre humeur, adoptez cette habitude puisqu’elle fait partie de la base d’une santé optimale.

2. Pensez optimalement

Nous ne vous apprendrons rien en vous disant que la pensée et l’attitude jouent un rôle primordial dans la santé optimale. Parfois, la grisaille de l’automne nous affecte plus que nous le croyons et pour cette raison, intégrez certaines pratiques intéressantes :

  • Méditation
  • Relaxation
  • Visualisation
  • Respiration abdominale
  • Cohérence cardiaque

Elles vous permettront d’optimiser votre pensée et si le stress de l’automne vous pourchasse, elles sauront vous aider à l’apaiser.

3. Mangez optimalement

L’automne est la saison des récoltes. Profitez-en pour vous concocter des recettes alléchantes, d’autant plus que vous avez accès directement à des produits frais remplis de bons nutriments. Les aliments frais et non transformés vous permettent d’aller chercher un maximum de bénéfices et de saveurs, donc ne négligez pas ce conseil! N’oubliez pas les conserves maison!

4. Bougez optimalement

Revenons à ce qui a été mentionné plus haut dans l’article : l’activité physique est un besoin et non une option. L’activité physique n’a plus de preuves à faire concernant son impact positif sur la santé mentale (libération des hormones du bien-être). Il ne devrait donc plus y avoir de doute à l’intégrer à votre quotidien! En plus des effets psychologiques, elle procure bien d’autres bienfaits :

  • aide au maintien d’un poids santé
  • favorise le sommeil
  • soutient les capacités cardiovasculaires
  • aide à la santé des os
  • favorise le maintien de la masse musculaire

5. Ayez un système nerveux optimal

Dernier conseil mais non le moindre : misez sur la santé de votre système nerveux. Puisqu’il contrôle tous les systèmes du corps humain, sa bonne fonction est essentielle à votre bien-être. La chiropratique , par sa vision globale de la santé, mise justement sur l’optimisation de la fonction de votre système nerveux.

Printemps, été, automne ou hiver, votre chiropraticien se fera un honneur de vous guider vers l’atteinte de votre plein potentiel de vie!

 

Sources, telles que consultées le 29 août 2022
https://www.msss.gouv.qc.ca/professionnels/statistiques-donnees-sante-bien-etre/flash-surveillance/activite-physique-en-quelques-chiffres/

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Santé optimale : 6 moyens naturels pour créer la meilleure version de vous-même

La santé optimale est un concept tellement vaste qu’il est facile de s’y perdre. Cette quête semble souvent être une route difficile à emprunter : par où commencer lorsqu’on a le désir de mettre notre mode de vie en priorité? Qu’à cela ne tienne, la santé optimale n’aura plus de secrets pour vous lorsque vous découvrirez notre TOP 6 des meilleurs conseils à mettre en place pour y parvenir.

Dans cet article, vous découvrirez comment l’alimentation, le mouvement, le repos, la pensée, l’environnement et la connexion peuvent être priorisés en même temps sans terminer l’expérience en vous arrachant les cheveux de la tête! Faites de votre santé votre allié en vous permettant de l’optimiser naturellement!

1) Êtes-vous bien connecté?

Détrompez-vous : la connexion dont il est question ici n’a aucun lien avec le wi-fi. Il s’agit plutôt de la connexion interne, celle qui permet à votre système nerveux de fonctionner optimalement.

D’un point de vue chiropratique, une connexion neurologique optimale joue un rôle primordial dans la santé optimale. Puisque le système nerveux influence tous les autres systèmes du corps humain, il est facile de comprendre qu’il a un impact majeur et global dans la santé.

De par son expertise en santé neuro-vertébrale, votre chiropraticien pourra vous aider à cheminer sur la route de la santé optimale en évaluant, diagnostiquant et traitant les subluxations vertébrales et conditions associées. Il veillera donc à optimiser la santé de votre système nerveux.

La subluxation vertébrale se crée lorsque le corps humain est soumis à un stress :

  • Stress physique (ex.: traumatisme, blessure, accouchement)
  • Stress chimique (ex.: métaux lourds, drogue, alcool, pollution)
  • Stress émotionnel (ex.: sentiment d’angoisse, stress financier, stress au travail, stress familial, conciliation travail-famille)

Prendre en considération chacun de ces éléments est essentiel dans l’atteinte d’une santé optimale. En ce sens, le suivi offert par votre chiropraticien saura évaluer de façon globale votre situation afin d’avoir un impact positif sur votre santé.

Votre système nerveux vous remerciera, puisque concrètement, une fonction nerveuse optimale obtenue par les ajustements chiropratiques pourra avoir une multitude de bénéfices :

  • Optimisation de la santé neuro-vertébrale
  • Amélioration des amplitudes de mouvement
  • Soutien aux performances sportives
  • Diminution des risques de blessures
  • Diminution des risques de récidives
  • Soulagement des douleurs liées à la grossesse
  • Amélioration des troubles posturaux
  • Soulagement des douleurs associées à l’arthrose
  • Soulagement des douleurs associées aux blessures professionnelles

2) Le sommeil : la clé dans vos objectifs de santé optimale

Lorsqu’il est question de sommeil, la qualité et la quantité sont à prendre en considération. Dans les 2 cas, elles sont essentielles afin de le rendre optimal. Avoir une longue nuit de sommeil sans qu’il soit réparateur n’a pas plus de bénéfices qu’une nuit courte, mais efficace.

Un bon sommeil a un impact indéniable sur la santé optimale :

  • Aide à la sécrétion d’hormones de croissance chez l’enfant
  • Maturation du cerveau
  • Amélioration de l’humeur
  • Aide à la mémorisation et l’apprentissage
  • Stimule les défenses immunitaires
  • Favorise la régénérescence des tissus
  • Aide à la récupération physique et mentale

En contrepartie, un manque de sommeil répété peut avoir des conséquences :

  • Fatigue mentale
  • Diminution de la concentration et de la vigilance (augmentation du risque de blessures, chutes et accidents)
  • Trouble de l’humeur (stress, sentiment d’angoisse, état dépressif)
  • Trouble de l’appétit (possible prise de poids)
  • Diminution des fonctions immunitaires

La posture de sommeil, les habitudes de vie entourant le coucher, les phases liées au sommeil et des habitudes de sommeil régulières doivent être prises en considération afin d’optimiser votre sommeil. À son tour, il fera partie des éléments contribuant à votre santé optimale!

Connaissez-vous les mythes les plus fréquents rencontrés sur le sommeil? Nous vous invitons à les consulter en cliquant sur ce lien.

3) Évoluez dans un environnement optimal

Il peut y avoir différents types d’environnement :

  • Les lieux
  • Les personnes
  • L’état interne (état d’esprit, mode de pensée, mindset)

Selon l’état de chaque type, ils peuvent contribuer ou nuire à la santé optimale.

Pour rendre les lieux dans lesquels vous évoluez favorables à une santé optimale, suivez ces conseils :

Les personnes et relations qui vous entourent jouent un rôle capital dans votre santé optimale. Qui n’a jamais vécu une relation toxique? Veillez à être à l’écoute de vos émotions lorsque vous êtes en relation. Elles sauront vous guider vers ce qui est bon pour vous.

L’état interne (vos pensées, votre attitude, votre état d’esprit) représente l’environnement dans lequel vous vivez 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Il mérite donc toute votre attention! Rendez-le optimal et lisez ce qui suit, puisqu’il représente à lui seul l’un de nos secrets de santé optimale!

4) Ayez une pensée optimale

Chaque stimulus qui vous entoure a un impact sur votre pensée. C’est comme la nourriture de l’âme. Autant vous assurer qu’il soit bénéfique!

Afin de rendre chaque pensée la plus positive possible, veillez à mettre en pratique ces 4 habitudes :

1. Nourrissez votre cerveau optimalement. En offrant un environnement sain et des informations positives à votre esprit et à vos sens, vos pensées se transforment peu à peu.

  • Lecture de développement personnel
  • Musique apaisante
  • Relations saines

2. Implantez de nouvelles pensées. Lorsque vous désirez éloigner les pensées négatives, vous devez inévitablement les remplacer par de nouvelles pensées. Plutôt que de laisser le hasard faire les choses, pourquoi ne pas choisir nous-mêmes les nouvelles pensées?

Prenez l’habitude d’écrire ce qui vous anime positivement et relisez ces phrases régulièrement. Les lire à voix haute est un avantage puissant :

  • J’ai tout ce qu’il faut pour réussir
  • Je suis comblé(e)
  • Je suis bien entouré(e)
  • Je suis une bonne personne

3. Reconnaissez les émotions attachées aux pensées. Une émotion négative n’est probablement pas liée à une pensée qui vous est réellement bénéfique. Soyez-en conscients et référez-vous aux phrases qui vous animent.

4. Lorsque les pensées négatives sont coriaces à changer, pensez à mettre en pratique des techniques qui pourraient vous aider à les chasser :

  • Yoga
  • Méditation
  • Cohérence cardiaque
  • Relaxation

L’être humain (et le cerveau) apprend par répétition. Les pensées se moduleront au fur et à mesure que les stimuli positifs s’additionneront. Gageons que vous ne pourrez plus vous en passer!

5) Développez des habitudes alimentaires optimales

Si l’âme doit être nourrie adéquatement, il en est de même pour le corps, n’est-ce pas? En offrant des aliments riches en nutriments à votre corps, vous contribuez à ce qu’il s’exprime à son plein potentiel.


L’alimentation optimale ne se base pas sur la restriction. Elle est davantage axée sur la diversité et l’acceptation. Évidemment, avoir en tête certains éléments de base aide à la santé optimale :

  • Éviter les sucres raffinés
  • Éviter les aliments transformés
  • Favoriser les légumes, pousses et germinations
  • Favoriser les produits frais
  • Choisir des aliments riches en protéines et en fibres
  • Ne pas mettre de côté les bonnes sources de glucides

En intégrant ces principes, il peut être plus facile de rendre l’alimentation optimale. Toutefois, il serait utopique de penser que la majorité des individus puissent maintenir une ligne directrice comme celle-ci 100% du temps. Mieux vaut être réaliste, assumer et s’amuser, non? Privilégiez donc une alimentation constructrice.

L’important au bout du compte, c’est de se sentir bien dans les choix qui sont faits. Il est essentiel d’adopter une alimentation variée qui apporte vitalité et santé plutôt que de suivre un régime restrictif qui entraîne frustration, culpabilité et excès. Ce dernier contribuerait d’ailleurs à vous faire évoluer dans un environnement non optimal, comme décrit précédemment dans l’article.

6) Bougez optimalement

Devez-vous bouger chaque jour? Voulez-vous prioriser une activité plus qu’une autre? Quel sport est le plus adapté à vos besoins? Voyons comment éclaircir ce sujet.

Dans l’optique d’une santé optimale, le mouvement est essentiel. Il y contribue de façon non équivoque. Afin de le démystifier et vous aider à faire les bons choix d’activités, divisons-le en 3 types d’habiletés à développer :

  • Habiletés cardio-vasculaires
    Stimulation des capacités cardio-vasculaires
  • Habiletés musculaires
    Stimulation musculaire
  • Habiletés motrices globales
    Stimulation de l’équilibre, de la posture et de la mobilité générale

En choisissant des exercices qui vous permettent de développer ces habiletés, vous optimisez votre santé. Ayez donc une pensée pour ces critères lorsque vous faites un choix parmi la multitude des activités physiques qui s’offrent à vous :

  • Marche
  • Méditation
  • Yoga
  • Course à pied
  • Vélo
  • Raquette
  • Tennis
  • Entraînement en salle ou à la maison
  • Natation
  • Ski de fond
  • Pilates
  • Arts martiaux
  • etc…

Bien que les habiletés à considérer puissent vous orienter globalement, ne négligez toutefois pas vos intérêts personnels à leur détriment. Vous voulez prendre une marche plutôt lente? Faites-le! Vous préférez courir moins longtemps? Pas de problème! L’équilibre, c’est aussi de doser et s’amuser.

L’important n’est pas de savoir combien de fois vous serez tombé, mais plutôt de reconnaître le nombre de fois où vous aurez pu vous relever!

Avez-vous eu le réflexe de penser que tout ça était plus facile à dire qu’à faire? Vous savez, c’est normal! La santé optimale, c’est un processus et non une destination.

Mettez en pratique 1 ou 2 conseils à la fois. Fixez-vous des objectifs réalistes qui vous procurent une satisfaction. Ne tombez pas dans l’obligation ou la comparaison et permettez-vous de prendre le temps nécessaire pour atteindre VOTRE santé optimale.

Bonne santé!

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Sources telles que consultées le 12 avril 2022
https://www.sommeil.org

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10 mythes sur le sommeil

Le sommeil est un grand mystère de la vie. Quoique la science nous en apprenne toujours un peu plus, les mythes entourant le sommeil ont la couenne dure.

Nous vous en présentons 10 aujourd’hui, qui pourraient peut-être changer votre perspective sur le sujet et qui sait, certaines de vos habitudes.

1. Mythe : Le ronflement n’est pas dangereux. Il s’agit d’un problème courant, particulièrement chez les hommes.

Réalité : Même si le ronflement est inoffensif chez la plupart des gens, il peut être le symptôme d’un désordre plus grave comme l’apnée du sommeil, particulièrement s’il est accompagné de somnolence diurne.

L’apnée du sommeil est caractérisée par des pauses de respiration qui empêchent l’air d’entrer et de sortir des voies respiratoires. Les gens qui en souffrent se réveillent souvent la nuit à bout de souffle.

Ces pauses respiratoires réduisent les niveaux d’oxygène sanguin, peuvent créer une surcharge du cœur et du système vasculaire et augmenter le risque de maladies cardiovasculaires.

Le ronflement fréquent a aussi été associé à l’hypertension. L’obésité et un cou large sont des facteurs de risque de l’apnée du sommeil.

L’apnée du sommeil peut être traitée. Les personnes qui ronflent bruyamment et qui expérimentent des pauses respiratoires devraient consulter un professionnel de la santé.

2. Mythe : Il est possible de « tricher » sur nos heures de sommeil.

Réalité : Les experts du sommeil disent que la majorité des adultes ont besoin de 7 à 9 heures de sommeil chaque nuit pour une performance, une santé et une sécurité optimales.

Lorsqu’on ne dort pas assez, on accumule une dette de sommeil qui peut devenir difficile à « rembourser » si elle devient trop importante.

La privation de sommeil a été liée à des problèmes de santé tels que l’obésité et l’hypertension artérielle, à la mauvaise humeur, à une réduction de la productivité et à des problèmes de sécurité à la maison, au travail et sur la route.

3. Mythe : Monter le son de la radio, ouvrir la fenêtre ou allumer le climatiseur sont des moyens efficaces pour rester éveillé au volant.

Réalité : Ces trucs sont inefficaces en plus d’être dangereux pour la personne qui est somnolente au volant et pour les autres usagers de la route.

Lorsqu’on est fatigué au volant, la meilleure chose à faire est de s’arrêter dans un endroit sécuritaire comme une halte routière et de faire une sieste de 15 à 45 minutes.

Les boissons caféinées peuvent aider à réduire la fatigue temporairement, mais elles prennent environ 30 minutes avant de faire effet.

Bien sûr, la meilleure prévention contre la fatigue au volant est une bonne nuit de sommeil la veille du voyage.

4. Mythe : Les adolescents qui s’endorment en classe ont de mauvaises habitudes de sommeil ou sont paresseux.

Réalité : Selon les experts du sommeil, les adolescents ont besoin de 8 à 10 heures de sommeil chaque nuit, soit une heure de plus que l’adulte moyen. Leur horloge biologique est différente : elle les garde éveillés plus tard en soirée et endormis plus tard le matin.

Cependant, certaines écoles débutent les cours tôt le matin, au moment où les adolescents ont encore besoin de dormir. Résultat : de nombreux adolescents se rendent à l’école trop fatigués pour apprendre, sans qu’ils en soient réellement responsables.

5. Mythe : La somnolence diurne est toujours causée par un manque de sommeil.

Réalité : La fatigue excessive diurne est un problème lors duquel un individu se sent très somnolent durant la journée et ressent un urgent besoin de dormir alors qu’il devrait être alerte et réveillé.

Ce problème, qui peut survenir même après une nuit de sommeil suffisamment longue, peut être le signe d’un trouble médical ou d’un désordre du sommeil plus important, comme la narcolepsie ou l’apnée du sommeil. Il peut aussi s’agir d’un symptôme de grossesse.

La somnolence diurne peut souvent être traité et doit être mentionnée à un professionnel de la santé. L’endormissement diurne peut être dangereux et mettre la personne à risque d’un accident de la route, d’une blessure ou d’une maladie, en plus d’interférer avec ses habiletés émotionnelles, mentales et physiques.

Le manque d’hydratation est un facteur fréquemment associé à la fatigue générale. Buvons!

6. Les problèmes de santé tels que le diabète, l’obésité, l’hypertension et la dépression n’ont rien à voir avec le temps ou la qualité du sommeil d’une personne.

Réalité : Les études ont déterminé qu’il existe bien une relation entre la qualité/quantité de sommeil d’une personne et plusieurs problèmes de santé. Par exemple, le déficit de sommeil affecte la sécrétion de l’hormone de croissance, qui est à son tour liée à l’obésité; moins l’hormone de croissance est sécrétée, plus les risques de gain de poids augmentent.

La pression artérielle baisse généralement durant le cycle de sommeil, c’est pourquoi un sommeil interrompu peut affecter ce déclin normal et ainsi entraîner une hypertension et d’autres problèmes cardiovasculaires.

La recherche a aussi démontré que le déficit de sommeil interférait avec la capacité du corps à produire de l’insuline, ce qui peut mener au diabète de type 2.

7. Mythe : L’insomnie est caractérisée par la difficulté à s’endormir.

Réalité : Les problèmes d’endormissement sont un des 4 symptômes généralement associés à l’insomnie.

Les autres sont :

  • Le réveil trop tôt avec incapacité à se rendormir
  • Les réveils fréquents au cours de la nuit
  • Le réveil avec le sentiment de ne pas être reposé.

L’insomnie peut être un symptôme d’un problème de sommeil plus grave, d’un autre trouble médical physique ou psychologique. Lorsque l’insomnie survient plusieurs fois par semaine et qu’elle a un impact sur les fonctions et activités quotidiennes, il est recommandé d’en parler avec un professionnel de la santé.

8. Mythe : Les aînés ont besoin de moins de sommeil.

Réalité : Quoique la structure du sommeil au cours de la nuit change avec l’âge, le nombre d’heures nécessaires reste le même pour les aînés, soit 7 à 9 heures par nuit.

Les aînés peuvent se réveiller plus fréquemment durant la nuit, mais leurs besoins restent identiques à ceux des adultes plus jeunes.

Parce qu’ils dorment moins bien la nuit, les aînés ont parfois tendance à dormir davantage le jour.

Planifier une sieste dans la routine quotidienne peut aider la personne âgée à avoir plus d’énergie lors des périodes d’éveil.

9. Mythe : Les bébés devraient faire leurs nuits à 3 mois.

Réalité : Aucun bébé ne dort 12 heures d’affilée. Tout comme l’adulte, le bébé se réveille plusieurs fois au cours d’une nuit. Parfois il saura se rendormir seul, d’autres fois il aura besoin de son parent pour l’apaiser.

Un bébé qui a plus de facilité à se réconforter seul pourra dormir entre 6 et 8 heures vers l’âge de 6 mois. Les réveils et les boires fréquents au cours de la nuit sont essentiels au développement optimal de l’enfant.

Selon la Société pédiatrique canadienne, entre 0 et 6 mois, un bébé dormira environ 16 heures par jour, malheureusement pour les parents, pas toujours au moment où ils le souhaiteraient.

10. Mythe : Pendant le sommeil, le cerveau dort.

Réalité : Le corps se repose lors du sommeil, cependant le cerveau demeure actif. Il se recharge et se nettoie certes, mais il est toujours en contrôle de maintes fonctions du corps comme la respiration.

Typiquement, les cycles de sommeil durent 90 minutes et comportent 2 phases en alternance : le REM (« rapid eye movement ») et le non-REM.

Le sommeil non-REM comporte 4 phases distinctes, évoluant du stade 1 de l’endormissement, duquel il est aisé de se réveiller, au stade 4 de sommeil profond, qui est le plus récupérateur, mais lors duquel il est plus difficile de sortir.

 

Texte adapté de Myths – And Facts – About Sleep de la National Sleep Foundation.

Références, telles que consultées le 5 octobre 2018.

https://www.sleepfoundation.org/how-sleep-works/myths-and-facts-about-sleep/page/0/3

https://canadianfamily.ca/kids/baby/sleeping-baby/